Les secrets de Koltsov en exclusivité !

Quant-essence.fr présente une interview inédite de Sergueï Koltsov, concepteur des Correcteurs d'Etat Fonctionnel, interrogé par Diana, fondatrice de Quant-essence, distributeur officiel des CEF de Koltsov depuis 2014. Le directeur scientifique de Planètes-régions partage avec nous des révélations incroyables sur la mémoire de l’eau et la bioénergétique.

Diana : Bonjour M. Koltsov.

Sergueï Koltsov : Bonjour !

Diana : Enchantée !

Je suis ravie que nous ayons pu organiser cette rencontre. Je m’appelle Diana, je dirige la société Quant-essence implantée en France. Depuis 9 ans maintenant, je travaille à la promotion et à la diffusion des produits de la société Planète-régions en Europe et à l’international. Grâce à notre formidable équipe, notre entreprise grandit, se développe, et fournit aujourd’hui les CEF dans plus de 65 pays dans le monde. N’est-ce pas incroyable ?!

Sergueï Koltsov : Vous n'êtes pas les seuls à les distribuer.

Diana : Tant mieux ! Plus nous serons nombreux et mieux ce sera pour tout le monde. Nous avons lancé une enquête auprès de notre clientèle et plusieurs centaines de personnes nous ont adressé des questions à vous poser. Nous avons sélectionné les plus fréquentes, les plus pertinentes. La liste est longue. M. Koltsov, je rappelle que vous êtes le directeur scientifique de la société Planète-régions et l’inventeur de cette technologie unique que sont les Correcteurs d’État Fonctionnel. Je tiens encore une fois à vous remercier d’avoir trouvé le temps de répondre aux questions des clients de Quant-essence.

Sergueï Koltsov : Je vous en prie !

Diana : Merci ! Pour commencer, pourriez-vous nous présenter vos parcours personnel et professionnel ? Comment êtes-vous parvenu à élaborer cette technologie unique, et je dirais même, extraordinaire ? Qu’est-ce qui vous a amené à mettre au point les CEF ?

Sergueï Koltsov : Un rêve d’enfant : envoyer des fusées dans l’espace ! Et vous savez pourquoi ?

Diana : Vous ne vouliez pas être astronaute, comme tous les petits garçons soviétiques ?

Sergueï Koltsov : Non, non, non ! Je voulais vraiment envoyer des fusées dans l’espace.

Diana : Votre rêve s’est-il réalisé ?

Sergueï Koltsov : Et comment !

Diana : Et combien de fusées avez-vous envoyées dans l’espace ?

Sergueï Koltsov : J’ai travaillé sur une fusée dont le premier étage a constitué l'une des parties du bloc de propulsion de la navette soviétique « Bourane », comparable au célèbre « Shuttle ». J’ai œuvré durant environ 10 ans sur cet engin.

Diana : Ce n'est pas rien !

Sergueï Koltsov : L’ordinateur de bord de la navette n’était pas très performant, et nous avons été contraints de faire travailler notre tête 10 fois plus. Nous avons résolu quasiment toutes les équations à la va-vite. Les algorithmes que nous avons programmés dans l’ordinateur de bord étaient relativement simples. Aussi peu performant qu’ait été cet ordinateur, nous avons montré au monde entier que l’on pouvait faire atterrir une navette spatiale en mode automatique.

Nous n'avions pas prévu cela, mais il s’est avéré que nous avons fait très peur aux Américains. Ils étaient convaincus que nous ne parviendrions pas à programmer l’ordinateur de bord. Mais on l’a fait !

Cela n’a pas été facile, car il fallait calculer les algorithmes et concevoir les programmes informatiques sur des ordinateurs américains de la compagnie IBM qui ne convenaient pas.

Ils n’étaient pas adaptés pour effectuer des calculs comme ceux-là. Ils sont parfaits pour la comptabilité, mais pas pour cela.

Quoi qu’il en soit… Il a fallu faire avec ce que l’on avait. Et on l’a fait !

Diana : Vous avez commencé votre carrière dans le domaine spatial et vous y avez travaillé combien de temps ? Presque 20 ans, c’est beaucoup ! Qu’est-ce qui vous a poussé à créer les CEF ? Pourquoi un tel revirement à 180 degrés ?

Sergueï Koltsov : À l’âge de 37 ans, je me suis rendu compte que ma santé en avait pris un coup, tout cela parce que j’étais souvent contraint de travailler sur les logiciels informatiques durant la nuit. Mon système vasculaire s’était détraqué au bout de 4 à 5 ans. Je me suis demandé comment faire pour retrouver la santé. Consulter des médecins et prendre des médicaments, ce n’est pas une solution pour moi !

Je me suis servi de mon expérience de développeur de systèmes de commande de fusées.

Je me suis demandé comment est conçue la dynamique de l’être humain. À partir de là, tout s’est enchaîné, j’ai dû suivre une nouvelle formation.

Mes premières études étaient universitaires et touchaient aux sciences fondamentales : les mathématiques, la physique… Et toutes les matières principales que l’on avait à étudier. Les autres disciplines, comme la biologie ou la médecine, sont plutôt descriptives.

Elles impliquent un volume important d’informations à assimiler. Il a donc fallu que je me les approprie.

Diana : Et comment la dynamique de l’être humain est-elle conçue ?

Sergueï Koltsov : En fait, l’être humain est soumis aux mêmes règles que celles que nous avons tout naturellement introduites dans les programmes de bord pour commander cet engin mécanique qu’est une fusée.

Diana : Je n’aurais jamais pensé que le fonctionnement d’une fusée et de l’organisme humain puissent avoir des points communs.

Sergueï Koltsov : Sans mon expérience dans le domaine spatial, je pense que je ne serais jamais parvenu à comprendre comment fonctionne la dynamique du corps humain. C’est impossible à apprendre pour des médecins ou des biologistes. Ces matières-là ne leur sont pas enseignées !

Diana : Vous voulez dire qu’il faut avoir une approche holistique de l’être humain ? En quoi consiste-t-elle, en quelques mots, s’il vous plaît ?

Sergueï Koltsov : À la différence des fusées, tout système vivant est un système ouvert. J’étais un des responsables du service de « Dynamique des orbites » du Centre de contrôle des vols spatiaux. J’ai éprouvé un grand plaisir quand la navette a atterri sous mes yeux.

Peu de personnes savent qu’il y avait une tempête sur Baïkonour à ce moment-là, avec des vents de force 7. Pour que vous puissiez l’imaginer, dans de telles conditions, si vous sortez sur le balcon…

Diana : … vous êtes emporté.

Sergueï Koltsov : Si vous avez le temps de vous accrocher au balcon, vous ressemblez à un drapeau qui flotte au vent. Mais « Bourane » était un vaisseau extrêmement lourd. Son poids à l’atterrissage était de plus de 75 tonnes. Quand elle s’est posée, je me suis dit : « Que faisons-nous ? Nous n’avons pas de compréhension globale de la physique des phénomènes. » Personne ne se demande pourquoi l’EE des fusées ne dépasse pas les 3 %. Un train à vapeur fait mieux !

Diana : L’EE, c’est quoi ?

Sergueï Koltsov : L’EE, c’est l’efficacité énergétique des fusées. Le poids au décollage du système « Bourane » était de 3500 tonnes.

Diana : 3500 ! Époustouflant !

Sergueï Koltsov : Et en orbite... Il constituait en orbite un satellite de seulement 100 tonnes. C’est moins de 3 %. Avec une telle efficacité énergétique les vols interstellaires sont impossibles. C’est de la blague ! On nous dit qu’on va aller sur Mars. Avec quoi pourrait-on s'y rendre ? Je me demande si les Américains sont réellement allés sur la Lune ?

Avant de mourir, Stanley Kubrick a déclaré haut et fort que le programme lunaire avait été son plus beau projet cinématographique.

Diana : Cela veut tout dire. C'est super !

Sergueï Koltsov : Ensuite, j’ai commencé mes recherches. Ce n’était pas évident de comprendre immédiatement ce qu’est un système ouvert. C’est un système qui est soumis simultanément aux effets de différents facteurs. Quels sont ces facteurs sur Terre ?

Premièrement, la Terre elle-même et deuxièmement le Cosmos. Et il est impossible de prendre en compte tous les facteurs qui se produisent dans le Cosmos. Je ne crois pas à toutes ces tentatives de numérisation, de programmation informatique.

Croyez-moi, j’ai plusieurs vies d’avance en matière de programmation informatique. Un an après que nous avons fait atterrir la fusée « Bourane », j’ai donné ma démission et ne me suis plus jamais intéressé aux logiciels informatiques.

Diana : Il n’est pas possible de vouloir tout prendre en compte.

Sergueï Koltsov : Ce n’est pas réaliste !

Diana : Certaines choses restent incontrôlables par l’Homme.

Sergueï Koltsov : Absolument ! Cela ne nous empêche pourtant pas de vivre.

Diana : Nous nous adaptons, l’être humain s’adapte en permanence aux facteurs extérieurs.

Sergueï Koltsov : Tout à fait… À partir de cet instant-là, j’ai commencé à comprendre à quoi il fallait faire attention. Je peux même vous donner une date. Un changement radical s’est produit le 22 décembre 2020. À compter de cette date, la Terre et tous ses habitants sont entrés dans un nouvel espace. Personne n’a rien remarqué, chose intéressante ! Tous les rythmes extérieurs ont brutalement changé.

Diana : L’humanité a effectué le passage en douceur dans ce nouvel espace sans s'en apercevoir.

Sergueï Koltsov : Oui, nous sommes formellement entrés dans un nouvel espace, en réalité, cela fait plus de 10 ans, depuis 1996, que nous transitons vers une nouvelle Ère, l’Ère dite du « Verseau ». L’Ère obscure des « Poissons » a pris fin, et c’est tant mieux !

J’ai été contraint de lire énormément et de développer ma conscience.

À 37 ans, on voulait me mettre en invalidité de travail à cause de mon hypertension. C’était le résultat de toutes ces nuits passées sur les logiciels informatiques.

Il fallait que je me « répare ». Je me suis mis à étudier toutes les méthodes utilisées en médecine et j’ai été frappé par une chose : les médecins ne sont pas des techniciens, mais les techniciens prennent mieux soin d’une fusée que les médecins du corps humain.

Diana : Ne m’en parlez pas !

Sergueï Koltsov : Pourquoi ne pas en parler ? Je discutais…

Diana : Je veux dire, je suis entièrement d’accord avec vous !

Sergueï Koltsov : Ils ne comprennent pas ce qu’il faut en priorité « réparer » dans l’organisme.

Diana : Ils appliquent le même protocole de soins à tout le monde sans distinction.

Sergueï Koltsov : Exactement !

Diana : Il n’y a aucune approche individuelle.

Sergueï Koltsov : Absolument !

Diana : Premièrement. Deuxièmement : tous les médicaments perdent de leur efficacité avec le temps. Ils…

Sergueï Koltsov : Et pour quelle raison ?

Diana : Pourquoi, s'il vous plaît ?

Sergueï Koltsov : Parce que les conditions extérieures changent.

Diana : Les rythmes sont en constante évolution, c’est bien cela ?

Sergueï Koltsov : De plus, la Terre est initialement soumise aux effets de facteurs informationnels extérieurs. Jusqu’en 2021, tout le monde savait que le 19 janvier, jour de l’Épiphanie, il fallait se baigner dans de l’eau glacée.

Pour quoi faire ? Ce jour-là, et jusque-là les rythmes annuels du champ magnétique changeaient. Mais ces deux dernières années, en 2021 et en 2022, ils ont cessé de varier.

Un bouleversement a eu lieu. Vraiment un bouleversement !

Aujourd’hui, il est particulièrement déconseillé de se baigner dans l’eau glacée le 19 janvier, on risque de tomber malade. Pourquoi s'y plongeait-on ?

Pour permettre à notre corps de s’adapter aux nouveaux rythmes annuels du champ magnétique. Désormais, plus besoin de s’adapter à quoi que ce soit.

Diana : Vous dites que l’on peut tomber malade, mais se baigner dans un trou percé dans la glace par -20 °C, cela dépasse l’entendement des Français.

Sergueï Koltsov : C’est très facile !

Diana : Ils n’auraient pas l’idée de faire ça !

Sergueï Koltsov : Je l'ai fait jusqu’à l’âge de 35 ans par -25 °C, -30 °C en compagnie d’une jolie jeune femme au jardin Neskoutchni*, dans le « Bassin de l’Impératrice ». Génial !

(NDLR : Le jardin Neskoutchni est l'un des plus anciens parcs publics de Moscou)

Diana : Il n’y a qu’un Russe qui puisse comprendre ! Je vis en France depuis 20 ans et je peux vous dire qu’il y a de grandes différences entre nos mentalités, nos approches, nos visions du monde. Ce qui est une évidence pour un Russe ne l’est pas pour un Européen !

Sergueï Koltsov : Je suis allé en France deux fois, j’ai beaucoup voyagé en Europe et ailleurs, vous savez quelle est la principale différence ?

Pourquoi cet écart dans les mentalités ? Pourquoi les Russes ont-ils une mentalité tout à fait différente ? La mentalité russe est plus globale ! Le Russe ne pense pas : « Comment je vais faire pour survivre dans ce village ? », mais « Comment je vais faire pour survivre dans ce monde ? ». Un monde qui dépasse parfois les limites de la Terre.

Diana : Vous voulez dire que les Russes ont une vision plus collective des choses ?

Sergueï Koltsov : C’est une autre facette de la question qui en comporte de nombreuses.

Diana : C’est cette fameuse âme russe, dont nous parlent tous les poètes ?

Sergueï Koltsov : Pas seulement l’âme, mais aussi une question d’éducation. Cela ne fait pas sens de préparer un technicien hautement spécialisé si l'on doit ensuite, comme moi par exemple, changer totalement de profession…

Je ne sais pas comment ferait un Européen dans ce cas ? Il irait suivre une nouvelle formation, des cours de qualification professionnelle ?

Diana : Oui, c’est ce qu’ils font, et à tout âge, même à 50 ou 60 ans.

Sergueï Koltsov : Vous savez ce que l’on m’a enseigné à l’université ? On m’a appris à apprendre sans bourrage de crâne.

Diana : Je suis née à Moscou et j’ai suivi ma scolarité à l’école Waldorf, je comprends de quoi vous parlez. De cette approche créative et de la façon d’enseigner aux enfants à apprendre par eux-mêmes et non à rabâcher bêtement par cœur… Je vous comprends parfaitement !

Sergueï Koltsov : Voilà, vous voyez.

… J’ai été très aidé par la « revue d’études Soros ». Soros, en voilà un personnage !

Diana : Excusez-moi, je ne connais pas cette revue.

Sergueï Koltsov : Il s’agit d’une revue qui pendant plus de 5 ans a publié des articles sur différentes sciences de la nature : les sciences de la Terre, la physique, la chimie, les mathématiques et sur d’autres disciplines, comme la génétique.

Dans ces articles imprimés sur 6 feuillets, les plus grands spécialistes du pays faisaient part de l’état des sciences et de leurs perspectives de développement. Il n’était pas nécessaire de faire des travaux de recherche. Rien de tout cela !

Mon fils aîné a fait sa scolarité dans une école spécialisée en physique et technologie et, comme moi, il a participé à de nombreux concours entre lycéens. Il a obtenu un tas de diplômes et certificats gros comme cela, et en récompense il a bénéficié d’un abonnement gratuit à cette revue. Il ne la lisait pas, mais moi si !

Cette revue m’a appris beaucoup de choses, et pour les comprendre il fallait avoir des connaissances globales dans de nombreux domaines. Très diversifiés !

Diana : L’idée maîtresse est d’élargir l'horizon de ses connaissances, de sa conscience, de son savoir.

Sergueï Koltsov : De sa perception du monde !

Diana : Et cela dans différents domaines... Cette approche vous a aidé à mettre au point les CEF, vous avez pris en compte de très nombreux facteurs, je suppose ?

Sergueï Koltsov : Quand j’ai écrit les brevets des premières versions des CEF, j’ai fait sciemment référence à la « revue d’études Soros ».En soulignant ainsi que pour parvenir à ce résultat il fallait juste avoir un niveau de lycéen, un bon niveau, disons.

Tout est écrit, il suffit simplement de lire et de chercher à comprendre. Pas besoin de faire math sup ou autre chose. J’ai compris que c’est Tesla qui avait raison et pas Einstein.

Tesla, parce que la question suivante s’est posée : « Comment fabriquer un résonateur qui prenne en compte l’interaction entre le champ magnétique de la Terre et le rayonnement cosmique ? Comment l’information est-elle enregistrée sur les CEF ?

Diana : La question sur le processus d’enregistrement de l’information revient très souvent. Les utilisateurs nous le demandent régulièrement.

Sergueï Koltsov : De la façon la plus banale qui soit ! Pour cela, il m’a fallu lire plusieurs ouvrages d’ésotérisme et comprendre ce qu’était la Merkabah.

Diana : Génial. Cela fait partie des questions à venir. On reviendra plus tard à la Merkabah, n’allez pas trop vite. Comment l’information est-elle enregistrée sur les plaques d’un point de vue purement scientifique et technique ?

Sergueï Koltsov : Pour l’expliquer il faut comprendre ce qu’est la Merkabah.

Diana : Très bien, alors quel est le lien entre la Merkabah et les CEF ? Expliquez-nous, puisque c’est indispensable à la bonne compréhension des choses.

Sergueï Koltsov : La Merkabah représente la construction du champ magnétique qu’il fallait techniquement reproduire, tout en sachant que les flux informationnels venant du Cosmos et les flux informationnels venant de la Terre ne s’enregistrent pas simultanément. Ils s’enregistrent du plus simple au plus compliqué suivant un rythme bien déterminé.

Dans la nature vivante, tout se construit de façon très lente. Et ces flux informationnels s’enregistrent tous selon le principe inspiration-expiration. Lors de l’inspiration, un flux cosmique est enregistré. Lors de l’expiration, un flux de la Terre.

Quand tout cela a été assimilé, les choses ont commencé à se mettre en place petit à petit.

J’ai découvert aussi que le rythme directeur auquel obéissent toutes les cellules vivantes, tous les milieux aqueux pour être précis, était un rythme venant du Cosmos. Quand un dérèglement dynamique se produit, on tombe malade. Si on élimine ce dérèglement, on recouvre la santé. Il y a deux jours, j’ai reçu l’appel d’un copain qui m'a dit : « L'une de nos lointaines parentes a été hospitalisée, cela fait une semaine qu’elle est dans le coma. »

Je lui ai demandé : « elle a quel âge ? » Il m'a répondu : elle est née en 1990. Je lui ai dit : « Comment ? 32 ans seulement ? » Puis : « Envoie-moi une photo d’elle ! » Il m’a envoyé la photo… Une pure beauté ! J'ai ressenti de la peine pour cette petite. Là, directement au téléphone, à partir de sa photo, à l’aide de plusieurs CEF, j’ai trouvé comment effacer tous ses problèmes. Et je les ai résolus. Je l'ai rappelé et lui ai dit : « Observe ce qui va se passer demain ! »

Le lendemain, il m'a rappelé et m’a annoncé : « Elle est revenue à elle. »

Diana : Incroyable !

Sergueï Koltsov : Elle était restée une semaine dans le coma. Les médecins ne comprenaient pas ce qu’elle avait.

Diana : On ne connaissait pas la cause de son coma, aucun diagnostic n’avait été posé ?

Sergueï Koltsov : Ils n’avaient pas réussi à le poser. Qu’est-ce qu’il y a d’étonnant ?

Ce n’est pas la même chose chez vous ? C’est pareil !

Diana : Il arrive en effet que certains maux surviennent sans raison et de façon incompréhensible. Pourriez-vous nous expliquer votre méthode de travail à distance ? Comment venir en aide à quelqu’un ?

Sergueï Koltsov : C’est très simple, on pose le CEF sur la photo de la personne. Mais il faut trouver le bon CEF d’abord.

Diana : Comment, avec un pendule ? Peut-être pourriez-vous nous montrer ?

Sergueï Koltsov : Nous avons réalisé plusieurs vidéos à ce sujet. Vous pouvez les trouver sur notre site.

Diana : Ces vidéos sont très longues, 2 à 3 heures parfois.

Sergueï Koltsov : Si je commence à vous expliquer, comment je travaille avec un pendule...

Je ne pose jamais de question à personne. Quand j’ai pris un pendule dans les mains pour la première fois, je me suis demandé : est-ce que nos doigts émettent de l’énergie ? Effectivement. Oui, bien sûr ! Ce rayonnement se produit dans deux directions. Depuis le bout du doigt et du côté de l’ongle. Indépendamment l’une de l’autre !

Personne n’en parle. Et pourquoi ? Parce qu’on ne comprend pas. De plus, deux doigts seulement… Le rayonnement de chaque doigt correspond à un chakra. Très précisément !

Chez les femmes, le rayonnement de la main gauche correspond à l’état fonctionnel, et celui de la main droite à l’état de la colonne vertébrale. Le système osseux est le système principal d’information du corps humain. Ce phénomène est purement magnétique. Personne ne comprend pourquoi de nombreux matériaux voient leurs propriétés changer une fois placés dans la bande millimétrique des ondes. Que nous a-t-on appris à l’école ?

Pour montrer comment se répartissent les lignes du champ magnétique, on met de la limaille sur une plaque de fer, on approche un aimant de la limaille et elle forme alors des lignes. On parle de fer magnétique.

Sur la bande des ondes millimétriques, c’est le contraire. Le fer devient diamagnétique, c’est-à-dire qu’il perd toute propriété magnétique.

En revanche, pour tous les organismes vivants, comme les plantes, les arbres, là, cela fonctionne.

Diana : On ne nous a pas appris cela à l’école.

Sergueï Koltsov : Pire, cela n’est écrit nulle part, dans aucun manuel technique. Plus concrètement, les rayonnements sur lesquels les CEF émettent les énergies s’appellent « les ondes électromagnétiques longitudinales » et « les composantes scalaires du champ magnétique ». Pour mieux me faire comprendre : le champ magnétique doit produire quelque chose. Or, d’après l’équation de Maxwell, le champ magnétique ne peut rien produire. De plus, il est impossible d'enregistrer la deuxième partie qui correspond aux ondes longitudinales. Parce qu’elles sont organisées selon les lois de la musique.

D’où viennent les notes de musique ? Quelqu’un s’est-il posé la question ?

En musique, tout est simple : 6 tonalités, 12 demi-tons, mais 7 notes. Le nombre d’or s’y est faufilé. L’algorithme reste néanmoins compréhensible. Donnez-moi un logiciel qui soit parvenu à écrire un morceau de musique intelligible. Il n’y en a pas ! Et pourquoi ?

La réponse est très simple : parce qu’il manque l’âme du compositeur.

Diana : Il manque l’inspiration ?

Sergueï Koltsov : C’est cela !

Diana : Cette même inspiration que vous puisez pour fabriquer les CEF ?

Sergueï Koltsov : Je ne puise plus rien nulle part depuis longtemps. La technologie de fabrication des CEF est bien rodée maintenant. J’enregistre de façon très élémentaire tous les flux cosmiques, les flux qui viennent de l’extérieur. Selon des principes désormais bien assimilés.

Diana : Certaines personnes nous demandent si vous êtes en relation avec des entités cosmiques, non terrestres ?

Sergueï Koltsov : Non ! Pas du tout !

Diana : Vous ne faites qu’enregistrer des flux informationnels ?

Sergueï Koltsov : Je suis quelqu’un de très formaliste, j’ai été élevé suivant les principes de la théorie marxiste-léniniste et du matérialisme. Je me suis rendu compte que Hegel avait raison : c’est la conscience qui est primordiale, et non la matière.

Diana : Vous êtes un homme de science et pourtant vous vous servez d’un pendule. Montrez-nous s’il vous plaît comment vous vous en servez.

Sergueï Koltsov : De façon très élémentaire, mais pour vous le montrer, j’ai besoin d’un objet. Je vais prendre de l’eau qui a été structurée à l’aide d’un CEF pour voir de quoi il en retourne. Il s’agit d’un liquide qui a été structuré correctement. Je sais quel CEF j’ai utilisé pour la charger en énergies : « DON DU CIEL ». Quand on commence à utiliser les CEF et à s’en servir pour structurer de l’eau…au bout de quelque temps, 3, 4 ou 5 mois, on sent tout de suite si l'on a affaire à de l’eau structurée qui est bonne ou à de l’eau qui n’est pas structurée et qui n’est pas bonne.

Placez un récipient d’eau sur un CEF pendant 5 minutes et votre eau deviendra bonne.

Diana : Le goût de l’eau structurée est vraiment différent, c’est un fait ! Nous avons parlé tout à l’heure de la Merkabah, qu’est-ce que c’est ?

Sergueï Koltsov : L’ésotérisme fait référence au champ de la Lumière. Ce qui est très proche de la vérité. En réalité, il s’agit d’une structure géométrique qui se présente sous la forme de 2 tétraèdres réguliers imbriqués l’un dans l’autre qui tiennent dans une boule. Le résonateur a été fabriqué selon ce principe. Quand j’ai compris que tous les flux informationnels étaient lents et qu’ils travaillaient suivant le principe inspiration-expiration, j’ai fait face à un autre problème de taille.

Comment créer des flux énergétiques qui agissent simultanément vers le haut et vers le bas ? Je me suis servi des fameuses bobines de Tesla. Personne ne s’était intéressé à leur rayonnement, mais c’est ce que j’ai fait. Il repose sur le système rectangulaire des énergies.

C’est tout à fait autre chose, on n’a pas affaire à un système linéaire. Ensuite, tout a été une question de calculs relativement simples, et heureusement que j’ai de bonnes notions d’arithmétique. J’ai pu calculer ce qui se produit et fabriquer techniquement le résonateur qui reproduit la Merkabah. Le résonateur permet une perception simultanée des flux énergétiques provenant du Cosmos et de la Terre.

Quand je charge en énergies les matériaux primaires, les Correcteurs d’État Fonctionnel, le résonateur est naturellement orienté selon les points cardinaux.

Si l'on pose un CEF sur une surface plane et qu’on le fait tourner, son action va être différente en fonction de sa position par rapport aux points cardinaux.

Sur une surface plane…

Diana : Quel est le rayon d’action de chaque plaque ?

Sergueï Koltsov : Il est énorme.

Diana : Il varie selon les plaques ou est-il le même pour tous les CEF ?

Sergueï Koltsov : C’est à peu près le même pour tous, un kilomètre environ.

Diana :  Donc, le rayon d’action d’un CEF est d’un kilomètre ?

Sergueï Koltsov : En réalité, c’est plus que cela ! Mais au-delà ce n’est plus intéressant, car il faut tenir compte du principe du libre-arbitre. Ma liberté s’arrête là où commence celle de l’autre. C’est très…

Diana : Ce qui veut dire que tous mes voisins baignent dans les énergies de mes CEF depuis des années et ils ne me remercient même pas.

Sergueï Koltsov : Cela vaut si les CEF sont posés sur une surface plane. S’ils sont rangés en tas, n’importe comment, alors il y en aura toujours un qui sera dans une mauvaise position. Dans ce cas, aucun d’entre eux n’agira.

Diana : Je comprends.

M. Koltsov, chaque mois vous nous présentez 2, voire 3 nouveaux CEF et vous dîtes que vous ne puisez votre inspiration nulle part. Pourtant, il faut bien que vous soyez aiguillonné pour y arriver. Comment expliquez-vous que les CEF arrivent toujours pile-poil au bon moment ? Comment cela se fait-il ?

Sergueï Koltsov : C’est le temps qui dicte les règles du jeu ! Par exemple, les 21 et 22 décembre prochains je vais prendre un nouvel échantillon d’eau du robinet. Il faut bien enregistrer la dernière version des Correcteurs d’adaptation pour le passage à l’Ère du Verseau. Sans elle, ça sera triste !

J’ai sous la main… Combien, 6 ? 6 plaques. Celles que j’utilise quasiment tous les jours. Il y a 4-5 jours, 5 personnes différentes m’ont dit que leurs centres énergétiques avaient été bloqués de 5 manières différentes. Que ferait un médecin lambda ? Essayer de toutes les traiter suivant un protocole préétabli ? C’est sans espoir ! Sans aucun espoir !

Toutes les origines de la maladie sont passées aujourd’hui du côté informationnel.

Le monde est actuellement touché par 3 types de virus différents et on veut nous faire croire que c’est la grippe porcine. Une grippe ne peut pas se répéter tout simplement parce que les conditions extérieures évoluent en permanence. Vous pouvez l’appeler comme vous voulez ou bien lui donner le même nom, la grippe sera toujours différente.

Diana : Sur la base de votre analyse de la pandémie et des attaques informationnelles actuelles, quels sont les CEF que vous recommandez aux utilisateurs dans ce cas concret ?

Sergueï Koltsov : Le CEF « DON DU FEU » qui était efficace contre le virus à la mode du COVID-19 continue de l’être, comme avant.

Diana : Est-ce que le CEF « SOURCE DE LA GRANDE MONTAGNE », que vous aviez conseillé auparavant, est toujours d’actualité ?

Sergueï Koltsov : Oui, il est toujours efficace ! Mais depuis, nous avons fabriqué des CEF plus puissants qui ne nécessitent plus d’avoir recours au CEF « SOURCE DE LA GRANDE MONTAGNE ».

Diana : Parmi les nouveaux Correcteurs, quels sont ceux que vous conseillez ? Les CEF de la Série Elite, probablement ?

Sergueï Koltsov : Au cours de l’année qui s’est écoulée j’ai enregistré les CEF d’adaptation suivants : « TRANSMUTATION », le 21 décembre 2021, « SOLAR » le jour de l’équinoxe de printemps de cette année. Un thème séparé, le CEF « ROUE DE LA FORTUNE », le 20 mai 2022. Le suivant, c’est, comment s’appelle-t-il, le CEF « SOURIRE SOLAIRE » le jour du solstice d’été. On vient de fabriquer et de produire en série le CEF enregistré le jour de l’équinoxe de septembre (22/09/2022), « NOUVELLE ETOILE ». Il reste à enregistrer le CEF du solstice d’hiver, les 21-22 décembre prochains.

À ces 5 CEF il faut ajouter le CEF « DON DU CIEL » qui constitue un thème à part.

Quand tous les centres énergétiques sont bloqués, l’aura ne dégage plus aucune énergie. On prend le pendule et on voit que l’aura est inerte, rien ne sort.

Diana : J’utilise « DON DU CIEL » quotidiennement en ce moment et avec beaucoup de plaisir.

Sergueï Koltsov : C’est un CEF très efficace sur le plan physiologique, mais il n’est pas toujours suffisant quand tous les centres énergétiques sont bloqués.

Diana : On peut recourir au CEF « AMOUR SACRÉ » ?

Sergueï Koltsov : Oui, il est toujours efficace, mais il est destiné à autre chose.

Diana : Arrêtons-nous un peu sur ce sujet, sur l’essence des programmes virtuels dont vous avez parlé, ces programmes qui attaquent toute une population, qui perturbent complètement les gens, les rendent fous, je crois que ce sont vos paroles. Vous avez alors utilisé la carte de la Russie pour venir en aide à la population. Les utilisateurs nous demandent : « Comment venir en aide concrètement à la France, à l’Europe ? »

Sergueï Koltsov : C’est impossible, vous n’avez pas de résonateur. Et vous ne le pourrez pas avec un CEF. Nous avons imprimé une carte depuis Google sur une feuille transparente et glissé en dessous le CEF correspondant.

Diana : Et la résonance a eu un effet sur quelle distance ? À ce moment-là, vous…

Sergueï Koltsov : En fonction de la taille du territoire qui tenait sur l’image plane. Pour la Russie, sur une feuille de format A4 on a pu couvrir un territoire allant de l’Oural jusqu’aux frontières occidentales.

Diana : Vous avez parlé de canaux cosmiques, pourrions-nous évoquer les canaux Maya ? Les canaux Maya, c’est un peu autre chose, n’est-ce pas ? Comment...

Sergueï Koltsov : Pourquoi autre chose, ce sont des canaux qui existent depuis très longtemps. Pour moi aussi cela a été une découverte en 2009-2010. À cette époque, j’enregistrais des thèmes cosmo-énergétiques ordinaires à l’aide d’un bio-énergéticien. Vous savez comment on les enregistrait ?

Diana :  Racontez-nous !

Sergueï Koltsov : Le bio-énergéticien habitait à l’autre bout de la région et on s’appelait au téléphone. Il me disait : « Tu es prêt ? » Je lui répondais : « Oui, prêt ! » Je m’asseyais en face du résonateur et j’enregistrais tout simplement le flux de conscience. Je servais de relais transmetteur. Quand je me suis intéressé aux canaux Maya, j’ai consulté simplement l’Internet et je me suis posé la question : « Suis-je en mesure d’initier des canaux Maya ? »

Il s’est avéré que je l’étais. Ensuite, j’ai trouvé toutes les descriptions sur l’ensemble du code verbal permettant d’initier ces canaux. Je les ai enregistrés tels quels.

Diana : Beaucoup de personnes se méfient des canaux Maya et disent : « on ne sait pas trop ce qu’ils cachent, on ne connaît pas l’origine de ces canaux. »

Sergueï Koltsov : En vérité, les canaux Maya sont bien plus puissants que les canaux cosmo-énergétiques classiques et sont principalement orientés vers la guérison et, avec une très grande précision, vers des organes concrets, des systèmes du corps humain, etc. Les Mayas avaient compris tout cela. Si les adeptes de Darwin pensent qu’ils descendent du singe, libres à eux ! Je crois que sur terre nous sommes tous des envoyés des étoiles et venons de différents systèmes stellaires.

Diana : Revenons à l’approche scientifique qui a prévalu à la création des Correcteurs d’État Fonctionnel. Certains utilisateurs demandent si vous testez les CEF en double aveugle comme pour les préparations médicamenteuses.

Sergueï Koltsov : La double méthode à l’aveugle est indispensable pour les médicaments, mais pour les CEF, au niveau du champ magnétique, il suffit de respecter des règles extrêmement faciles. Vraiment très simples. Tout ce qui est lié à la physiologie et au plan subtil de l’Homme est soumis à des règles élémentaires qui ont été décrites il y a 150 ans par un pharmacien français, je le souligne au passage, du nom de Gabriel Lesourd.

Il a écrit à ce sujet un ouvrage intitulé « Méthode radiesthésique de recherche des maladies », c’est-à-dire à l’aide d’un pendule. Il prenait l’urine d’un patient sur du coton et à l’aide d’un pendule il recherchait les zones d’ondes stationnaires qui pouvaient être déterminées.

Il avait parfaitement raison. Il a décrit toutes les règles, elles sont accessibles à tous.

Je n’ai rien inventé du tout. Les règles sont très basiques.

Étant donné que la Terre se trouve dans le bras droit de la galaxie, le principe essentiel à respecter est l’équilibre. Pas l’endroit où prévaut un champ magnétique ou l’endroit où prévaut un deuxième champ magnétique, mais le point d’équilibre entre ces champs.

Sur la Terre, à une distance de 20 à 40 cm d’un objet on trouve toujours le champ magnétique droit et à une distance de 40 à 60 cm, le champ magnétique gauche.

C’est tout, pas besoin de chercher plus loin.

Quand un déséquilibre se produit, cela a une incidence sur la santé psychique

et physiologique de l’individu. Bien sûr, nous avons rencontré un tas de problèmes techniques : la question de la gamme de fréquences, par exemple. Je suis persuadé que Mendeleïev était un des premiers à avoir compris de quoi il en retournait. Quand on prend le tableau périodique des éléments de Mendeleïev qu’on nous donne à l’école, on voit que le premier élément – le Newtonium - a été barré, on se demande pourquoi.

Juste avant l’hydrogène. Que signifiait cet élément ?

La materia prima, l’éther. Le grand-père Mendeleïev avait très bien compris cela.

Quand on a mis le tableau dans les manuels, on a tout matérialisé et on l’a barré. Et Tesla lui aussi avait parfaitement compris. Il y a un tas de gens qui mettent au point des moteurs à énergie libre, et eux aussi, ils le saisissent très bien.

Le Créateur, celui qui a créé toute chose sur Terre, est génial !

Diana : Vous en avez tenu compte quand vous avez mis au point les CEF ?

Sergueï Koltsov : Bien évidemment ! J’ai fait aussi des recherches sur le milieu générateur, sur la gamme de fréquences de l’éther. Je me suis heurté à la notion de Fond diffus cosmologique.

Diana : Qu’est-ce que… Quel fond ?

Sergueï Koltsov : Diffus cosmologique.

Diana : Le fond diffus cosmologique ? Je dois ensuite traduire notre entretien, voyez-vous ?

Sergueï Koltsov : Qu’est-ce que le fond diffus cosmologique ? Il vient du Big Bang. Est-ce qu’il a vraiment eu lieu ? Si l'on commence à se poser toutes ces questions en série, on n’obtiendra toujours plus de questions et pas de réponses.

Diana : Il me reste encore beaucoup de questions à vous poser, aussi je vous propose de continuer. Vous savez, les Français sont très curieux de savoir...

Sergueï Koltsov : Les Français ne sont pas les seuls à être curieux.

Diana : Beaucoup de nos utilisateurs demandent quelle est votre méthode personnelle avec les CEF. Est-ce que vous les portez quand vous sortez de chez vous, par exemple ? Si oui, lesquels prenez-vous ?

Sergueï Koltsov : J'utilise en permanence les 6 CEF que j’ai énumérés tout à l’heure...

Diana : « SOLAR », « DON DU CIEL », « DON DU FEU ».

Sergueï Koltsov : Je n’utilise plus « DON DU FEU » depuis longtemps, j’en ai eu besoin une seule fois cette année.

Diana :  Non, vous avez recommandé le CEF « TRANSMUTATION » …

Sergueï Koltsov : Oui, « TRANSMUTATION », mais tous les CEF doivent être pris en compte à degré égal, parce qu’on ne peut pas savoir comment les centres énergétiques ont été bloqués tant qu’on ne procède pas à un examen avec le pendule.

Diana : Quelle est votre routine quotidienne avec les CEF ? Est-ce que vous les utilisez pour faire des recharges énergétiques ? Tous les jours, plusieurs fois par jour, selon quel schéma ?

Sergueï Koltsov : Non, je suis quelqu’un de très paresseux. Si j’ai…

Diana : J’aurai du mal à le croire tant que vous ne m’aurez pas convaincue.

Sergueï Koltsov : Qui a compris le sens de la vie ne se hâte pas ! Si je me sens bien quand je me lève le matin, je ne touche même pas à un Correcteur. Mais si au milieu de la journée je commence tout à coup à m’assoupir, alors je cherche immédiatement à savoir par quoi j’ai été attaqué. Il faut agir dès les premiers symptômes, ne jamais laisser les choses aller plus loin. Si on laisse faire, cela peut conduire au coma. Très facilement !

Diana : Cela descend du plan énergétique et se cristallise sur le plan physique ? Pour ensuite se transformer en problème de santé ?

Sergueï Koltsov : Cela va toujours se passer de cette façon.

Diana : Si on ne stoppe pas l’attaque à temps, une maladie va s'en suivre ?

Sergueï Koltsov : Inévitablement !

Diana : Je comprends votre approche.

Sergueï Koltsov : Les Correcteurs d’État Fonctionnel ont été conçus en tant que dispositifs préventifs.

Diana : Pardon ? Je n’ai pas entendu.

Sergueï Koltsov : Je dis que les CEF sont des dispositifs prophylactiques. Ils ne sont pas destinés…

Diana : Je saisis.

Sergueï Koltsov : … à guérir qui que ce soit.

Diana : Il est plus facile de prévenir que de guérir.

Sergueï Koltsov : Bien sûr ! Ils ont été créés pour cela. Une personne qui s’en sert bien n'a plus le droit de tomber malade.

Diana : Oui, chef !

Sergueï Koltsov : Je ne sais même pas si j’ai encore un dossier médical chez le médecin de mon quartier ? Je n’y suis pas allé depuis plus de 20 ans.

Diana : C’est fantastique ! Admirable !

Sergueï Koltsov : Pourquoi ? C’est la réalité.

Diana : La majorité de nos clients se trouvant en France, ils sont préoccupés par la question suivante : envisagez-vous de prendre des échantillons, d’eau par exemple, de hauts lieux d'énergie qui se trouvent en France ou en Europe pour créer de nouveaux CEF ? En France, on trouve des lieux comme Carnac vous savez, où il y a un alignement de menhirs, de mégalithes, etc.

Sergueï Koltsov : J’ai reçu de l’eau de France par la Poste.

Diana : Et alors ?

Sergueï Koltsov : Ça n’a rien donné du tout. Un jour, on m’a apporté un fascicule sur les sources de France de type… Vous savez ce qui m’a choqué ?

Chaque source est couverte d’une arche en pierre surmontée d’une croix catholique.

Diana : Vous voulez dire une croix virtuelle ?

Sergueï Koltsov : Pas virtuelle, réelle !

Diana : D'habitude, il y a une statue ?

Sergueï Koltsov : Une arche avec une croix au-dessus. C’est suffisant pour tuer l’énergie de la source.

Diana : Ah bon !

Sergueï Koltsov : Parce que la forme de la croix catholique ne résonne pas très bien avec le champ magnétique extérieur.

Diana : C’est une observation très intéressante. Je n’y avais jamais pensé.

Sergueï Koltsov : Au-dessus des églises orthodoxes les croix droites possèdent des proportions tout à fait différentes. On voit que la chose a été étudiée.

Diana : Très intéressant !  Je crois que la polarisation de l’eau de Lourdes est enregistrée sur l'un des CEF, si je ne me trompe pas ? Lourdes, en France, connaissez-vous ce lieu de pèlerinage ?

Sergueï Koltsov : Aucun CEF ne renferme de l’eau de France !

Diana : Vraiment ?

Sergueï Koltsov : J’en suis certain !

Diana : Je croyais pourtant que la polarisation de l’eau de Lourdes avait été enregistrée.

Sergueï Koltsov : Non.

Diana : Je vérifierai !

Sergueï Koltsov : Pas de problème. Je peux vous dire que je n’ai pas enregistré cette eau.

(NDLR : Après vérification, le CEF n°1 Chasse aux parasites renfermerait la polarisation de l'eau de Lourdes)

Diana : Peut-être essayer des lieux naturels, comme ce lieu avec les menhirs, les mégalithes dont j’ai parlé, il n’y a pas de croix ni de statues.

Sergueï Koltsov : Oui, je suis prêt à essayer.

Diana : Aucune religion.

Sergueï Koltsov : Ce n’est pas une question de religion.

Diana : Oui, c'est une question d'onde de forme.

Sergueï Koltsov : Tout à fait.

Diana : Je comprends. Si un échantillon paraît intéressant, un échantillon d’eau, vous seriez prêt…

Sergueï Koltsov : On le testera avec plaisir !

Diana : Pouvez-vous y réfléchir ?

Sergueï Koltsov : Bien sûr. On vient de m’apporter tout un sac d’échantillons du Mexique.

L’eau s’est avérée très efficace.

Diana : Il existe déjà plusieurs CEF renfermant de l’eau enregistrée provenant du Mexique.

Sergueï Koltsov : Oui et 5 nouveaux échantillons m’ont encore été transmis.

[Partie 2 de l'interview]

*Ces produits n'ont pas vocation à remplacer une prise en charge médicale, et ce quelle que soit l’éventuelle pathologie du consommateur. Nous rappelons que le retard d’instauration d’un traitement de médecine conventionnelle peut entraîner une perte de chance de guérison ou d’amélioration d’une pathologie grave.

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