Plantes, minéraux, sources d’eau, canaux cosmo-énergétiques, canaux Maya…
C’est d’abord l’eau qui a été utilisée comme dispositif de mémoire universel. L’eau serait une substance naturelle d’une très grande capacité informationnelle. En 1988 déjà, le scientifique français, Jacques Benvéniste, ses recherches en homéopathie à l’appui, avait supposé que l’eau possédait une mémoire. Cette déclaration si inattendue a longtemps été contestée.
Le rôle de l’eau dans l’organisme humain est inestimable. L’eau est le premier capteur de l’information provenant de l’environnement. Elle réagit fortement aux effets extérieurs, en modifiant sa structure. Et les changements structurels de l’eau véhiculeraient cette information sur le plan cellulaire, en agissant de façon positive ou négative sur l’organisme, alors que l’eau est la base de notre vie, elle est présente dans chaque cellule de notre corps et dans l’espace intercellulaire. L’information, enregistrée et diffusée par l’eau, conditionnerait l’état de notre organisme et donc, notre santé et notre longévité.
Ainsi, on pourrait aisément constituer une mémoire de l’eau. Mais uniquement une mémoire à court terme. Sous l’influence des facteurs extérieurs, la construction de l’eau ainsi créée se désagrègerait rapidement. Grâce à sa perméabilité à l’information, l’eau serait un excellent intermédiaire, mais en aucun cas un support d’enregistrement durable. Les rayonnements extérieurs ou le simple fait de réchauffer l’eau auraient pour conséquence d’altérer, voire d’effacer complètement l’information enregistrée.
Mais les scientifiques ont persévéré, et leurs recherches ont enfin porté leurs fruits. De nouvelles technologies ont permis de créer un matériau qui a servi de base à un dispositif étonnant. Ce dispositif serait capable d’enregistrer, de conserver durablement et surtout, de diffuser en permanence autour de lui l’information dont il est le vecteur, il s’agit du Correcteur d’Etat Fonctionnel ou CEF de Koltsov.